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K`Tana

1 octobre 2019

Grâce à des efforts titanesques et à la volonté

Grâce à des efforts titanesques et à la volonté de fer d'Eliness, vous pouvez désormais me trouver ici:

https://www.ktana.net/

Rien ne change vraiment mais la déco est faite avec goût.

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30 janvier 2018

Crédit Photo: Alain Delorme Rue du Petit Paris,

totems-alain-delorme-photography-streets-china_dezeen_2364_col_5Crédit Photo: Alain Delorme


  Rue du Petit Paris, Rue de Chantepie, Rue Giraudeau, Allée de la Rochefoucaud, Rue Agnès Sorel, Rue de La Tranchée, Rue Rabelais, Rue de Candé, Rue d'Espagne, Le Grand Chemin, Place Joseph Bourreau, Rue du Marais, Rue du Lavoir et puis encore quelques autres dont j'ai oublié le nom ou l'emplacement parce que j'étais trop petit. À bientôt 34 ans, je compte une petite quinzaine de "maisons" différentes à mon palmarès. Soit une tous les trois ans environs. Pas mal hein ?

  Et pourtant je peux vous dire comment chacun de ces foyers été aménagé. La disposotion des pièces, le quartier, mes habitudes...

  Quand j'évoque ce chiffre, on me demande souvent si je suis enfant de militaire, mais non. La vie est plus simple et plus compliquée à la fois. Opportunité professionelle, séparation, lieu temporaire en attendant les travaux ou la bonne affaire immobilière, difficultés financières, rabibochage, divorce, mutation, indépendance, rencontre amoureuse... tout ça amène à un déménagement de plus. À titre purement personnel, je vais attaquer dans quelques jours mon cinquième déménagement, mais aussi le premier en dehors de France. Tout est prêt, et comme dit mon père, je suis casiment fils de gitan. Je vis dans le calme au milieu de mes soixante-quinze cartons et de mes meubles en kit. L'ordinateur trône imperturbable et inamovible jusqu'à la dernière heure. Le frigo parti vers d'autres aventures, je me nourri de salades et de sandwich depuis une semaine. Les murs et les pièces sont vides.

Les déménagements ont toujours été une façon de remettre à zéro ma vie. Nouveau départ encore et encore. Personne ne vous connait et on peut être vu différement. Dans le fond on ne change pas vraiment mais on s'offre la chance d'une nouvelle première impression.

Mais au final, on s'apperçoit toujours que je suis un pti con !

15 janvier 2018

Ma Sélection de Films 2017

  2017 s'est enfin achevée et le moins qu'on puisse dire, c'est que j'ai été feignant en ce qui concerne mon visionnage de films. Si les résolutions ne sont pas vraiment mon truc, je vais tout de même essayer de rattraper ça en 2018 autant que possible. Comme d'habitude, la sélection est celle des films VUS en 2017, elle contiendra donc des films qui ne sont PAS de cette année. Les 11 films sont classés par la magie du hasard, il n'y a pas d'ordre de préférence. Voilà.

Mommy



  Mommy(2014) est mon premier Xavier Dolan. Je rechignais pas mal à voir un Dolan parce que je l'associais, sans trop savoir pourquoi, à du cinéma chiant sauce "Louis-Garrel-dans-le-role-d'un-jeune-bourgeois-parisien-désabusé-par-la-vie". Et ben je me trompais. Déjà au début je pensais avoir merdé un réglage ne sachant rien du film j'ai pas compris tout de suite que le format carré était normal... Ensuite après avoir passé la barrière de l'accent Québécois, je me suis laissé emmené. Dolan j'ai l'impression que c'est un peu comme Dupieux mais pour des raisons différentes. Ce que je veux dire c'est que tu vas pas pouvoir en enchaîner deux à la suite. Il va te falloir un petit temps pour t'en remettre. Mais c'est aussi ça qui est bon !

it


It de Andés Muschietti est la bonne surprise que je n'attendais pas vraiment. Les adaptations du Sieur King allant du très bon au très mauvais, je n'espérais rien d'autant que je ne suis pas un grand fan de la version de 1990 même si elle ne me déplaît pas. Cette version m'a bien plu ! Le film surf sur toute la mouvance revival fin années 80 qu'on peut retrouver dans Stranger Things avec laquelle j'ai un peu de mal. J'ai l'impression qu'on essai de faire jouer la corde sensible de la génération Goonies/Stand By Me pour faire vendre. Sauf que là ça marche sur moi. Le film a pas mal de défauts notament dans ses ficelles de scénario mais c'est assez beau, les acteurs sont bons(mentions spéciale à Sophia Lillis qui crève l'écran) et ça fait le taf. J'irai sans doute voir la suite.

Realive

Realive(2016) de Mateo Gil est une suggestion d'Eliness plutôt bien vue. Un film qui pose la question de l'immortalité d'un point de vue pratique en prenant en compte les avancées de la médecine et surtout tout les problèmes physiques, éthiques et, émotionnels que cela soulève. C'est une petite pépite qui ne plaira pas à tout le monde mais dont le final seul justifie le visionnage.

it_comes_at_night



It Comes At Night de Trey Edward Schults a souffert d'être présenté comme un film d'horreur dans sa bande annonce. Ce qu'il n'est pas. C'est un huit-clos post-apocalyptique. Et quand on ne le vend pas mal c'est un très bon huit clos. Si vous devez le voir ne vous renseignez pas dessus au risque de vous faire spoiler.

mother


Mother ! de Darren Aronofsky est particulier. Particulièrement beau, particulièrement alambiqué, particulièrement bien construit, particulièrement symbolique, etc.
En sortant de la salle je n'étais pas totalement convaincu mais j'étais perturbé, bousculé. Le film demande d'avoir certaines clés pour être compris et malheureusement les clés ne sont pas données comme je le voudrais. Peut-être que je suis juste vexé de ne pas avoir tout pigé du premier coup. Peut-être aussi que je trouvais le message trop grossier là où j'aimais y voir quelque chose de plus poétique, plus général. Peut-être que j'ai du mal à apprécier les personnages parce que leur comportement est irrationnel. Pourtant avec le recul, j'aime ce film. Parce que je ne suis pas obligé de lui donner le sens que le réalisateur a pourtant clairement voulu. Parce que c'est le genre de film auquel on réfléchit encore plusieurs mois après et rien que pour ça, c'est un bon film. Merci Darren !

Blade-Runner-2049


Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve qui, en quelques films, s'est frayé une bonne place dans mes réalisateurs préférés. Pour moi il a réussi à faire une suite correcte à un gros morceau du cinéma. Le film a de gros défauts(Harrison Ford et Jarred Leto par exemple ne m'ont pas convaincu) mais il réussi a dégager une atmosphère qui lui est propre et à nous emmener ailleurs. Pas le chef d'oeuvre qu'on pouvait espérer mais une oeuvre honnête compte tenu de la difficulté à succéder au premier.

final-cut-ladies-and-gentlemen


Final Cut(2012) de György Pàlfi est un peu à part dans cette liste. C'est un film mosaïque conseillé par InThePanda je crois. Une histoire simple, un film d'1H20 à peine. Pourtant le film à une cinquantaine de réalisateurs connus, et sûrement plus de deux cents acteurs et actrices aussi célèbres. Le défi de ce film est de vous raconter une histoire en prenant des morceaux par-ci par là de centaines d'autres films. On suit donc des personnages protéiformes et quand on commence à s'habituer à la mécanique, le film devient un jeu de piste entre ce qu'on vous raconte et votre culture/mémoire ciné. Un exercice impressionant.

the wall


The Wall de Doug Liman est un film que je comptais/voulais pas voir. C'est un concours de circonstance et le choix d'un gamin de 13 ans qui m'a amené à le voir. L'affiche avec le drapeau ricain et John Cena en tête d'affiche ne me disaient vraiment pas et pourtant j'avais tort. En fait c'est un bon petit film. Un sniper irakien bien caché, un soldat américain derrière un mur et son pote au sol de l'autre côté du mur. C'est le postulat de départ. Et c'est vachement bien géré. Dans la lignée directe de Buried en moins claustrophobe.

nocturnal-animals


Nocturnal Animals de Tom Ford était vraiment captivant. Il garde cette touche très esthétique et onirique qu'on pouvait apprécier dans "A Single Man". Cette fois-ci l'atmosphère se partage entre l'histoire principale, les souvenirs d'Amy Adams et le livre de Jake Gyllenhaal. C'est à la fois un thriller et un film à ambiance. Et j'ai beaucoup aimé.

train to Busan


Train To Busan(2016) de Yeon Sang-ho est un film de zombie Coréen. Et c'est bien. J'ai pas grand chose à en dire si ce n'est que c'est cool. On y suit des gens tentant de fuir la contamination à bord d'un train. C'est vraiment bien foutu et ça fait plaisir.

logan-2017-poster


Pour finir, Logan de James Mangold. J'en attendais beaucoup de ce dernier opus. J'ai été très déçu par les deux premiers et celui-ci vient gommer un peu les méfaits précédents. Partant à l'opposé du film de mutant Marvel classique on a ici droit à un road movie dépressif sur fond de décrépitude et de passage de flambeau. Je n'ai pas trop adhéré au personnage de la gamine un peu trop stéréotypé à mon goût et le némésis du film tombe aussi dans cet écueil. Pourtant le film m'a donné ce que je lui demandais. Une fin digne de ce nom et une ambiance sombre et personnelle que je n'ai pas vue ailleurs.


C'est tout pour 2017 !

27 août 2017

Non loin des ruines de Dunhill, entouré de terres

  Non loin des ruines de Dunhill, entouré de terres en jachère, se trouvait une ancienne fermette délabrée. La grange n'avait plus de toit depuis longtemps et, à part les rats, aucun animal ne traînait près des lieux. Presqu'aucun en vérité. Un corbeau étrange aux yeux pourpres et portant un collier orné d'un cristal rougeoyant vint pourtant se poser sur un arbre près du bâtiment principal. De son perchoir, il pouvait observer l'absence d'activité. L'air déçu, il fit un tour à basse altitude à la recherche d'un signe de vie. Il le trouva par le son étouffé d'un soupirail menant au sous-sol de la maison. Des incantations entrecoupées d'un rire dément et des objets fracassés se faisaient entendre. Le corbeau atterri à l'entrée du soupirail et tandis que son collier semblait prendre feu, à la manière dont un serpent mue, la carcasse du volatile s'ouvrit sur sa longueur et se décolla afin que l'être à l'intérieur puisse libérer une nouvelle créature: Un rat. Tout ceci se déroula dans un souffle, le temps qu'une allumette s'enflamme. La dépouille vide de corbeau se décomposa à vue d'oeil et le rat au collier rouge s'engouffra dans le tunnel.
  Le soupirail était un vulgaire trou d'air qui donnait sur une grande pièce mansardée complètement surchargée par un capharnaüm au milieu duquel, affleurant le plafond, trônait une statue. Autour d'elle, des étagères et des bocaux contenant différentes substances, des animaux empaillés, des morceaux d'automates, des tubes de verre de différentes formes, pour la plupart sales, des engrenages et surtout, de la poussière, en grande quantité. L'immense statue était faite d'argile, elle représentait un colosse d'au moins 2m50, bâti comme un mur avec des bras aussi épais que ses cuisses. Sa tête semblait avoir été collée à même le buste sans prendre le temps de lui façonner un cou, son crane était chauve et plissé par un air agressif. C'était un troll d'argile. Tout autour de lui étaient disposés en cercle des cristaux violacés. Ils étaient tous cerclés de blanc et une ligne joignait chaque cercle. À des endroits stratégiques on pouvait déchiffrer différents glyphes obscurs, qui restaient indéchiffrable pour le commun des mortels. Parmis eux, un expert en magie aurait même reconnu certains dont l'utilisation avait été interdite par l'Empereur Pourpre lui-même.
  Et devant tout ça, à genoux, Albert Underwood. Albert était, sans méchanceté, un vieux sorcier raté. Ses connaissances étaient profondes en matière de magie interdite mais sa pratique laissait franchement à désirer. À vrai dire, de mémoire d'homme, aucun de ses sortilèges n'avait réussi. Certains avaient vaguement ressemblé à ce qu'il voulait mais jamais de véritable succès à son actif. Albert était donc en train de préparer quelque chose. Un golem monstrueux qui lui obéirait à la moindre commande. Un golem qui forcerait les autres à ne plus se moquer ouvertement de lui. Tout était prêt ou presque, ne restait plus que les incantations. Il rassembla donc ses notes devant lui et relu consciencieusement chaque ligne. Pendant qu'Albert relisait, notre rat métamorphe s'affairait. Rien de bien méchant à vrai dire puisqu'il se contenta de déplacer du museau l'un des cristaux du cercle. Il emmena donc l'un d'eux un peu plus en arrière. Beaucoup plus en arrière pour être honnête. Il alla le glisser derrière un automate assez unique. L'automate de porcelaine aux traits féminins et fins était assise acollée à un sac d'orge pourrissant et incarnait une jeune fille d'environ 15 ans à une échelle plutôt réaliste, mais, elle était malheureusement incomplète. Son torse ouvert comme un placard laissait apparaître différents mécanismes et rouages. Ses bras étaient ornés comme de la vaisselle fine entre arabesques et fleurs de lys argents. De-ci de-là, des caches manquaient. Son visage était fin mais dépourvu de perruque. Deux sillons aux commissures de ses lèvres lui fendait la mâchoire pour l'articuler. Une oeil lui manquait et laissait un trou béant vers l'intérieur de son crâne. À l'intérieur luisait faiblement une lueur bleue claire signalant la présence d'un moteur d'énergie antique et, illégal. Par endroit, des craquelures serpentent comme des éclairs, signalant des zones fragilisées par le temps, près à voler en éclat au moindre choc. L'ensemble laissait pourtant transparaitre une beauté unique et dérangeante dont on ne savait si on souhaitait la voir s'animer ou la laisser reposer.
  De son côté, notre rat alla s'enquérir d'un autre cristal derrière lequel il attendit que la cérémonie commença. Albert quant à lui, avait fini ses préparatifs. Du fond de sa poche ventrale, il tira une gourde collante qui contenait un alcool très sucré qu'il fabriquait lui même. Il vida le contenu de la gourde d'un trait et, contemplant son colosse, prit une grande inspiration et commença à psalmodier des paroles incompréhensibles.
  Au début et pendant un long moment, rien ne se passa. Et pourtant, petit à petit, à mesure que le flot de paroles s'amplifiait, la pièce s'assombrie. Les différentes bougies et lanternes qui éclairaient la pièce étaient toujours là, mais leurs éclats étaient oppressés au plus proche de leurs sources. À un moment, la voix du sorcier s'éleva d'un ton, comme s'il s'adressait à une foule et, dans le même temps, des éclairs violacés fendaient la pièce mais tous contenus dans une sphère indéfinie délimité au sol par les cristaux.
  C'est le moment que choisit le rongeur pour faire avancer son deuxième cristal vers le centre. Le cercle était brisé et ne formerait bientôt plus qu'un étrange haricot d'éclair. Albert criait maintenant et la fourdre traversait à la fois le golem et l'automate. Des bocaux autours se fendaient, d'autres objets se brisaient, des outils tombaient et au milieu, le rat poussait toujours son cristal. Le golem chancelait, la source d'energie dans la jeune fille de porcelaine brulait comme un feu de brousailles. Et soudain, le cristal du rat passa devant le golem, Albert était au bord de l'étouffement à force de s'époumoner et les éclairs se focalisèrent sur l'automate. À bout de souffle, le sorcier arrêta son incantation, et avec elle, les éclairs se turent. Un silence assourdissant régnait dans la pièce et sans prévenir un dernier éclair pourpre, épais et aveuglant vint frapper l'oeil vide de l'humanoïde. Le souffle de la foudre fini de faire vaciller l'amas d'argile et Albert, qui reprennait son souffle à genoux, ne vit jamais sa fin s'écrouler sur lui. Le tas de glaise s'abati dans un vacarme sourd sur son corps frèle et c'en fût terminé.
L'ironie voulu que son dernier sort fut lui aussi une demi réussite. Le golem ne suivrait jamais ses ordres pas plus qu'il ne prendrait vie. En revanche du fond de la pièce un cri cristalin, aigu au point qu'il brisa tout verre encore intact sur les étagères, retenti.
  L'automate venait de se voir offrir un souffle de vie.

15 août 2017

Bon anniversaire

13 ans de blog aujourd'hui
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18 juin 2017

Une nouvelle dose de musique

  Une fois n'est pas coutume, je vous redonne un petit "pot-pourri" de ce qui s'insinue dans mes esgourdes en ce moment. Pour commencer une bonne nouvelle, le retour de Dat' des Chroniques Automatiques, disparu de la toile depuis près de deux ans. Il revient donc avec une nouvelle fournée de découvertes. On attaque :

  L.O.A.S - Flingue en porcelaine, chanson pour laquelle le clip joue à 50% dans mon intérêt. Un peu dérangeant, un peu mélancolique. Ça me suffit.


  Blaise Moore et son album "Laurence". Un album de rupture entièrement disponible sur sa chaîne Youtube. Les instrus sont discrètes et lourdes, la voie se détache sur des textes amères et désabusés. Pas exactement mon style à la base mais là, ça passe bien.

 

 Son Lux - Cage of Bones. Toujours un grand fan de Son Lux, et ce morceau ne déroge pas à la règle.

 

 

   Petit aparté pour une série de morceau à l'origine particulière. InThePanda, Victor de son prénom, est un videaste présent sur YT que je suis depuis un petit moment. Créateur de fiction sur le web autant que de critique de ciné, c'est un gamin passionné qui commence à monter doucement pour mon plus grand plaisir. À la suite de la 3ème saison de sa Websérie(Unknown Movies) financée par ses viewers, il a décidé de faire le tour de la France pour livrer lui-même les contreparties. Ce tour de France a été découpé en Vlog. Et y'a tellement de bons morceaux dans ces Vlog que j'en ai fait la compile pour tout écouter. Composée de 103 morceaux, en voici quelques uns :

 

   Anton Serra & Lucio Bukowski - Les lions sont solitaires: Rappeurs Lyonnais, le morceau a de la pèche, du débit et des textes. Mention spécial à Lucio Bukowski dont j'écoutes les albums depuis.

 

 


  Goner de Twenty One Pilots. Simple et efficace. Longue montée, final hurlant, batterie/clavier pétaradant et voilà. 21 pilots me surprend toujours avec un ou deux morceaux qui ressortent toujours du lot.

 


  Le Klub des Loosers c'est particulier. J'avais déjà jeté une oreille il y a longtemps et j'ai abandonné au bout de vingts secondes. La faute au ton monocorde de Fuzati qui m'a repoussé. Grave erreur de ma part, j'aurais dû écouter les textes.
  Les thèmes sont redondants mais me parlent. La difficulté des rapports humains, les relations amoureuses dans la vraie vie, la vacuité de pondre des enfants à la chaîne. C'est désespéré, déprimant, hargneux et noir. Juste ce qu'il me faut quoi !

 

 

  Encore un morceau de rap, Héra de Georgio, c'est juste bien. Pas encore eu le temps d'écouter les albums mais si c'est aussi bien produit, ça promet.

 

 

  Il y a un moment que je n'avais pas écouté Boards of Canada et en écoutant Tomorrow's Harvest, ben, je me demande bien pourquoi !

 

 

 

moderat-iii

 

  C'est en croisant cette image sur un mur de Berlin que j'ai découvert Moderat. Attiré par le visuel je me suis demandé si c'était un tag, une pub, ou de la musique. Et pour ma plus grande joie c'est de la musique. Un groupe composé de deux autres, à savoir Apparat dont j'aimais déjà beaucoup l'album "The Devil's Walk" et Modeselektor groupe d'electro, Berlinois lui aussi. Trois albums qui s'écoutent d'une traite, sobrement intitulés I II & III. Une tuerie.

 

 

  Voilà c'est tout pour aujourd'hui, mais si vous avez encore faim, vous pouvez aussi aller voir JonLajoieSilversun Pickups, Wailling Trees ou bien ce morceau d'Igorrr.

  À dans six mois !


21 mars 2017

Fierté Personnelle

   Le 1er Mars 2016, je prenais la résolution de me bouger le cul. Un psy de base vous dira que mon anniversaire dans les jours précédents a motivé ma décision. La trentaine passée, il était temps de m'occuper de mon corps plus sérieusement.

   J'avais déjà testé plusieurs méthodes, le "30 Days Shred" que j'ai tenu comme son nom l'indique sur 30 jours mais que je n'ai pas continué, j'ai aussi testé l'entrainement à la maison, d'abord en testant la méthode Lafay, abandonnée rapidement parce que nébuleuse dans son fonctionnement, puis j'avais acheté des haltères et une barre pour faire de la muscu dans mon salon, mais l'espace montre vite ses limites. Difficile de ranger le matériel discrètement, difficile d'être sécuritaire quand ton banc de muscu c'est quatre chaises accolées. Arrivé à un certain poids, se retrouver avec la barre coincée sur la gorge devenait un risque à prendre en compte. J'ai tenu quatre mois comme ça puis j'ai revendu le tout.
   J'en reviens donc au 1er Mars. J'ai épluché plusieurs salles de sport, la plus proche, toute petite et en plein changement de propriétaire ne m'a pas attirée, le mec à l'accueil avait plus l'air intéressé par son téléphone que par ma demande de renseignement.

   Le patelin d'à côté offrait une alternative pas chère, un club de musculation à 160€ à l'année pour la licence et accès plus ou moins illimité à une petite salle. J'ai laissé tombé parce que les horaires étaient assez restreint et que ça ressemblait trop à une amicale de gonflette entre potes et que je me voyais mal m'intégrer à un nouveau groupe. Je me suis ensuite renseigné à l'opposé complet de ce concept, le club en plein centre de Lille avec ses bombasses péroxydés et tannées aux UV à l'acceuil. Niveau équipement c'est la fête, variété des services aussi, coach perso, Crossfit, bâtiment entretenu. Alléchant quoi. Jusqu'à ce qu'on aborde les prix. 100€ les 10 scéances donc trop cher si on y va régulièrement, ou 80€ par mois pour un accès illimité. Pas dans mes moyens surtout que certains cours sont payant en plus de l'abonnement. Next !

   Je me suis retrouvé à la croisé de tout ça, je suppose qu'il en existe plein du même genre et le concept me plait. 30€ par mois, ouvert en continu de 6h à 23h du lundi au dimanche, pas de cours, pas de coach, mais beaucoup de matériel et de l'espace. La chaine s'appelle Gym Street, il y a une grosse centaine d'appareils entre postes de muscu et machines à cardio. Je suis anonyme, je fais ma séance sans jamais être dérangé et mes interactions se limitent à savoir si on peut tourner à deux sur une machine ou savoir si "je peux prendre la barre qu'est à côté de toi ou tu t'en sers ?". Le nombre de machine fait que j'ai rarement besoin d'attendre pour faire un exercice, et au pire j'en fais un autre en attendant que ça se libère. Le personnel d'entretient est omniprésent ce qui fait que tout est toujours très propre. Mais il y a un gros point noir, la musique. Au point que si j'oublie mon lecteur mp3 je fais demi-tour.

   En effet la salle est constellée d'écrans télé qui diffusent en continu votre horoscope, des conseils d'hydratation ou de nettoyage des machines mais surtout à 90% du temps, des clips musicaux. Au niveau paroles c'est simple, tu mélanges dans le désordre: All Night, Sunny, Party, Don't stop, Dance, Sexy, Fun.
   Ces clips sont de trois sortes, soit une soirée en boite, où tout le monde s'amuse et c'est la fête tavu, soit on est sur la plage/pays chaud et c'est la fête et tout le monde s'amuse, soit on est dans le désert et là c'est un peu plus libre, tu peux avoir un road trip en moto ou en voiture ou une poursuite entre les deux, ou des cowboys. Les clips sont évidemment remplis de bonasses au bonheur cocaïnesque ou aguicheuses façon porno ou les deux à la fois. Pitbull est le seigneur incontesté de cette tv puisque je le vois tous les cinq clips en featuring avec quelqu'un de different.
   Pour sortir un peu de ce triptique on a aussi le droit à des repompages de la culture pop pour plaire à tout le monde(Insane in da brain), ou un DJ en vogue avec une star du moment(Sweet Nothing), ou alors registre plus décalé rigolo. Je comprends tout à fait que ces musiques soient bien pour danser mais à écouter quand tu pousses de la fonte c'est NON. Fin de l'apparté.

   Revenons à ces exercices, j'étais parti avec une idée simple: être régulier. Pas d'objectif chiffré, j'étais obligé de prendre un an ensuite c'est au mois. Donc un an obligatoire et voir ce que je peux faire. Même si mon meilleur pote (qui connaît ma propension à abandonner les choses par manque cruel de discipline) m'avait prédit que je lâcherai au bout de trois mois, j'ai tenu et je tiens encore. Sur un an j'y suis donc allé une soixantaine de fois, soit un peu plus d'une fois par semaine, ce que je trouve honnête, le tout avec des périodes d'abstinences plus ou moins inévitables(voyage Japon, fêtes de fin d'année, pause post-tattouage).

   Mon programme a pas mal évolué lui aussi. Au début j'en faisais trop. Cardio suivi d'une dizaine d'exercices, j'étais épuisé avant la fin. J'ai revu mes ambitions à la baisse et je réserve le cardio aux jours où je suis pas motivé et je fais une heure de vélo elliptique. Maintenant j'en suis là:

4x10 répétitions, 1 minute de repos entre chaque série

Développé incliné(sans le poids de la barre): 10kg 15kg 17,5kg 20kg
Tirage horizontal: 34kg, 41kg, 47,5kg, 54,5kg 61kg
Développé barre(sans le poids de la barre):  vide, 5kg, 7.5kg 10kg 15kg 17,5kg 20kg
Presse cuisse: 50kg  60kg  70kg 80kg 100kg 150kg 200kg
Standing calfx20 (machine): 49,5kg+5, 58,5kg 67,5kg+5, 76,5kg 85,5kg 94,5kg
Abdo(banc articulé): 4 x15 x20 x25
Extensions dos(machine): 55kg 58,5kg+5, 67,5kg  76,5kg 85,5kg


   Le premier chiffre est le poids auquel j'ai commencé, le dernier celui que je pratique actuellement. J'augmente quand ça me semble "trop facile". L'objectif de cette année est simple: doubler le nombre de séance pour passer de "entretenir mon corps" à "modifier mon corps".
   Mon idéal physique est assez proche du Wolverine de Esad Ribic

1 (1)

   Mais inatteignable, à cause que c'est un dessin tu vois ? et que je suis chauve. Et blond. Et pas mutant. Toussa quoi.
Donc dans l'idéal je vise plus quelque chose d'harmonieux, même si je tiens à certains critères, comme le dos large et de ne pas tomber dans le grand classique du torse hypertrophié et des jambes de marathonien. Le physique de Tom Hardy dans Fighter me plairait bien.

sao-nam-bien-doi-hinh-the
   Je lorgne aussi du côté des physiques plus athlétiques mais aussi plus utiles. Le concept d'Ido Portal(entraîneur de Conor McGregor) qui est plus un concept marketing qu'une vraie discipline me plaît assez. Basiquement, ça consiste à remettre plus de mouvement naturels dans les exercices et plus de mouvement tout court dans la vie de tous les jours. Un peu perché et très bien vendu le fond m'intéresse beaucoup. Pour la forme on repassera. Pour les prix aussi. Un stage de deux jours aura lieu en Belgique par exemple, pour la modique somme de...645€.


 

 

Je pense que je vais continuer à pousser de la fonte  -_-`

31 décembre 2016

2016 MOVIES

  Histoire d'amener un peu de vie sur ce blog à la dérive, je me suis dit qu'en plus de vous souhaiter une bonne année(il est jamais trop tard à s'qui parait !) je pouvais aussi me fendre de vous pondre un bilan ciné. Parce que j'aime bien ça moi, le cinéma.

L'ordre des films est totalement arbitraire, n'y voyez aucun classement particulier, et ce sont les films que j'ai vu en 2016 pas forcément ceux sortis en 2016. Aller, on attaque:

Source: Externe

  Youth de Paolo Sorrentino, dont je connais très peu la filmo, mis à part "This Must Be The Place" que j'avais trouvé interessant mais pas transcendant. Youth par contre a su faire mouche. On y suit deux vieux messieurs en vacances en thalasso en Suisse, l'un réalisateur, l'autre compositeur reconnu. Tout deux sont en fin de carrière et l'on va suivre leurs remises en question et leurs bons mots.
  Le film est putain de beau esthétiquement, les cadres, la photo, tout ça tape dans l'oeil. Niveau casting suffit de lire l'affiche pour comprendre qu'on a du beau monde, dont la trombine un peu étrange de Paul Dano que je suis toujours content de voir. Je n'en dis pas plus parce que je doute que rentrer dans les détails aide. C'est un film à réflexion qui vous emmène loin si vous le laissez faire.

Source: Externe

  The Hateful Eight de Tarantino est là parce que j'ai pas le choix. Je suis fan du bonhomme depuis Pulp Fiction et il ne m'a jamais déçu. Sans être un chef d'oeuvre, The Hateful Eight est magistral de maîtrise. Un huit-clos bien construit à la sauce Tarantino. Longues tirades, montage en chapitre, casting de rêve et bande son aux petits oignons. Dans la continuité de sa filmo avec un côté plus sérieux.

Source: Externe


  Lost River de Ryan Gosling est un cas particulier puisque c'est un premier film. Il souffre donc des défauts d'un premier film et un en particulier, celui de vouloir tout mettre dedans. Dans le cas de Lost River c'est les influences diverses de Gosling qu'on voit à l'écran tout autant que son film. On y verra donc tour à tour du Nicolas Winding Refn évidement, Terrence Malick, David Lynch ou Gaspar Noé dont il a piqué le chef photo Benoit Debie. Ça pourrait être un défaut ces influences visibles voir criarde mais en fait...non. Parce que c'est bien fait. Peu d'acteurs à l'écran mais ils sont chacun juste dans leur délire, comme Saorise Ronan que j'aime toujours voir à l'écran(Hanna, Byzantium, Lovely Bones) Matt Smith acteur connu comme une des incarnations de Dr Who(que je ne suis pas d'ailleurs) et que j'ai mis du temps à reconnaître, Reda Kateb que j'apprécie aussi beaucoup ou Christina Hendricks. C'est léché, nuageux, onirique même et surtout: flippant.

Source: Externe

  It Follows de David Robert Mitchell fait partie d'un duo de films conseillés par Alex avec l'actrice Maika Monroe.(le second,"The Guest" aurait pu avoir sa place ici mais je voulais me limiter à dix films). Le pitch est simple: une malédiction sexuellement transmissible vous condamne à être poursuivit par une entité qui peut prendre la forme de n'importe quelle personne et que vous êtes le seul à pouvoir voir. Elle ne coure pas mais marche irrémédiablement vers vous quoi que vous fassiez. Seule échappatoire, transmettre la malédiction à quelqu'un d'autre. Le film est flippant à souhait de par ce côté implacable de la créature. La musique joue beaucoup dans l'ambiance du film et moi dès qu'on me met une bonne musique, j'aime le film !


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  En parlant de musique, Dope de Rick Famuyiwa est aussi dans cette sélection en partie grace à sa musique, je n'attendais pas grand chose de ce film vu plus par hasard que par volonté. Bien m'en à fait puisque malgré ma non-attirance pour les "feel-good-movies", celui-ci m'a bien accroché. La bande son hip-hop, rock et funky, l'ambiance très 80-90's, le plot un peu simple mais bien mené(des geeks se retrouvent à devoir dealer une grosse quantité de drogue). Tout ceci en fait un bon film du genre qu'on peu revoir sans se poser de question.

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  Dans un autre registre, "Me and Earl and the Dying Girl" est un des films gagnants du Sundance Film Festival. Sans en faire un gage de qualité absolue j'ai rarement été déçu des films de leur sélection officielle et je jette toujours un oeil intéressé aux récompensés. C'est Tumblr qui m'a incité à le voir, à grand renfort de citations filmiques et autres captures de scène.
  Le personnage principal est plus ou moins forcé par ces parents à devenir ami avec une fille de son bahut parce qu'on vient de lui trouver une leucémie et que ce serait bien de quelqu'un aille la voir. Olivia Cooke qui joue la jeune fille en question me rappelle un mélange réussi entre Winona Ryder et Natalie Portman et Greg le "héros" principal à des analyses de la vie étudiante qui se rapprochent beaucoup de ma façon de voir ma scolarité. La film à bien fonctionné sur moi et a ajouté une connexion de plus au morceau "The Big Ship" de Brian Eno qui avait déjà un impact assez marqué dans "The End Of The Tour" autre bon film qui aurait mérité sa place séant.

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Comment c'est loin, c'est le cas du film qui me faisait peur, peur que ce soit encore un film français comme on en voit trop. Un film de potes qui est sympa mais ne va pas bien loin. Et je me suis trompé. C'est un film de galériens qui me rappelle ma période de glande ultra violente post-bac, une période où on ne fait rien de ses journées, parce qu'on est paumé et qu'on ne veut pas grandir. C'est un film de procrastinneurs professionnels. C'est un film à punch-line. C'est un film à bande originale. C'est un film qui m'a donné envie que Gringe sorte un album. Et c'est un bon film.

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10 Cloverfield Lane est la suite de Cloverfield qui était un bon found footage à la sauce Godzilla. Là on part à l'opposé dans un autre huit-clos. De huit on passe à trois protagonistes. John Goodman est pareil à lui même, j'étais heureux de revoir Mary Elizabeth Winstead(le crush polychrome capilaire de Scott Pilgrim, la cheerleader de Death Proof, etc) et John Gallagher Jr. que je connaissais de la série "The Newsroom" est aussi excellent. Trois bons acteurs dans un abri de survivaliste attendent la fin du monde. Y'a plus qu'à apprécier, c'est simple et efficace.


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  The Handmaiden/Agassi/Mademoiselle de Park Chan-wook est un film de réalisateur. Je veux dire par là que quand monsieur Chan-Wook sort un film c'est un must see immédiat. Découvert comme beaucoup avec Old Boy, poursuivi avec Sympathy for Mr Vengeance, Stoker ou Thirst, il a rapidement prit une place bien ancrée dans mon top réalisateur personnel. "Mademoiselle" est sensuel, érotique même au point d'être interdit au -18 ans dans certains pays, bien construit. Beau aussi. Certains cadres sont de véritables tableaux. Alors j'attends le prochain maintenant.
 

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  The Arrival est la bonne surprise de fin d'année. Ce n'est pas le plus grand film de science fiction que j'ai vu(j'ai par exemple un bon souvenir d'Interstellar qui n'est pas si vieux) mais c'est le meilleur que j'ai vu depuis longtemps. En même temps c'est de Denis Villeneuve et lui aussi m'a habitué à être conquis. Que ce soit "Prisonners", "Enemy" ou dernièrement "Sicario" c'est toujours de grande qualité et d'une grande justesse. Le mec sait vous emmener dans son monde et ça marche à chaque fois, et ce quelque soit le registre. Du coups je guette Blade Runner 2049 avec moins d'angoisse.

29 août 2016

Hip hop non stop

   Il y a plus de 10 ans sortait la série manga de 26 épisodes "Samourai Champloo" réalisé par Shin'ichiro Watanabe, un réalisateur Ô combien cher à mon coeur, puisqu'il est responsable de la série Cowboy Bebop. Cowboy Bebop mixait avec un certain talent le space opéra, les chasseurs de prime et la musique jazz et blues. Samuraï Champloo se proposait trois ans plus tard de reproduire le tour de force avec un mélange de chanbara et de hip-hop (ce style de mélange avait aussi très bien marché avec Afro Samurai trois autres années plus tard mais d'un studio différent)
   La série m'avait beaucoup moins accrochée mais la musique m'avait beaucoup plu. Je découvre Nujabes et le Abstract Hip-Hop...

...puis j'oublie.

   Et c'est récemment avec les jeux vidéos que mes goûts musicaux se sont étoffés sans pour autant devenir différents. Pas du tout hip-hop mais pourtant obsédant le trailer du nouveau Resident Evil est hanté par un "Go tell aunt Rhody" dont je ne me lasse pas

 Ou encore le prochain Hideo Kojima, "Death Stranding" qui utilise "I'll Keep Coming" de Low Roar divinement

   Mais question hip-hop c'est surtout la team Nesblog qui m'a remis dedans. D'abord avec la série "Pause Process" qui tout en vous expliquant plein de choses cools sur la création technique des jeux vidéos, vous en met aussi pas mal dans les esgourdes. Il y a d'ailleurs une playlist dont je conseille vachement beaucoup l'écoute.
Le genre de fond sonore qui vous fait dire: 'tain c'est bien ça, c'est qui ?!

   Toujours dans la team Nesblog, Bandouch me semble être quelqu'un à suivre de près, si c'est son analyse des arabes dans les jeux vidéos qui m'a attiré, ce sont ces analyses d'album qui me font rester. Le type est une mine d'or de découverte à venir, même si je ne suis pas aussi réceptif à tout ce qu'il cite, j'en découvre pas moins de bons sons. J'ai par exemple enfin découvert Kendrick Lamar:

   Ou trouvé une foultitude de références à croiser dans son analyse du dernier Anderson .Paak


   Enfin, toujours grace au jeux vidéos, je suis un streamer de League of Legend du nom d'Alderiate, qui utilise pas mal de fonds sonores intéressants dans ses vidéos, en plus d'avoir un humour particulier ou un sérieux problème psychiatrique, je ne sais pas encore. Toujours est-il que je peux maintenant partager ça

 



Bonne écoute ;)

 

16 mai 2016

Sinon...

... j'aime bien Miguel Marquez

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Et Simon Stalenhag

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Voilà

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